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Armure d'un soldat français, tombé lors de la bataille de Waterloo, le 18 juin 1815.
Le 21 mai, il a été encadré au 2e régiment de carabinier, 4e escadron, 4e compagnie. Et il devait être très fier, car les deux régiments de carabinier étaient l'élite du corps.
La carapace, pesant 6,96 kg, qui portait l'après-midi de cette bataille sanglante, était capable de le protéger des coups de couteau, des coups d'épée ou de sabre, voire de contenir l'impact d'une balle de pistolet, mais elle n'aurait jamais pu le protéger d'un boulet de canon, comme le prouve clairement par les effets dévastateurs qui se révèlent sur la carapace violemment perforée sur le côté droit de la poitrine du jeune François-Antoine, l'orifice a été entré et sorti par le dos, il est clair que sa mort a été instantanée, et il est fort possible qu'il ne sache même pas ce qui était l'a frappé. 0 reply
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